Essai de pliage à partir d’un patron dessiné sur illustrator dont les arêtes sont ensuite marquées avec le plotter.
3_le principe de « capacitance »
Ce principe est celui que nous avons choisi pour développer une série de capteurs interactifs, qui réagissent aux mouvements du corps et qui peuvent se mêler parfaitement à des matériaux traditionnels.
- Le principe de la capacitance:
- L’idée: 1 une interaction simple (sémantique, ergonomique?)- 2 une action simple (ex faire varier un son, une lumière….)
- lundi 16 novembre: premiers essais
Lorsque nous approchons une partie du corps de l’antenne (fil rouge) la LED s’allume. L’intensité lumineuse varie en fonction de la proximité du corps avec l’antenne et de la surface de contact avec le métal conducteur de celle-ci.
En fonction de l’environnement, du nombre d’appareils électroniques dans une pièce, du nombre d’humains (…) les valeurs recueillies par une antenne peuvent varier, il faut toujours prendre en compte cette éventuelle variation.
- Le code commenté téléchargeable ici > capacitance1
- exemple d’installation avec : un capteur en résine et zinc, une carte arduino et une enceinte.
OBJET / SOCIAL
Objet social – l’origine du projet
BASE DU PROJET :
Ce projet vient d’une volonté de créer des objets numérique dans l’espace des relations sociales
le travail nous à amené a penser une panoplie de l’homme social parfait !
Notre reflétions nous a amené à parler du paradoxe de notre utilisation des objets numérique dans le contexte social notamment avec les réseaux sociaux .
Waren BOYEAU
2_Essai 1: Porcelaine.
Porcelaine et électronique, Il s’agit le plus souvent de deux éléments distincts..
Nous avons souhaité essayer des les associer afin de créer un objet chaleureux et traditionnellement fabriqué, qui sort des archétypes de l’électronique, où objet et circuit ne feraient qu’un.
Pour celà nous nous sommes questionné à propose du liseré doré de finition si emblématique des porcelaines. Ce liseré est très conducteur (nous avons testé sa conductivité lors d’une visites aux manufactures de Sèvres). Il est habituellement utilisé en temps que décor, pourrait-il avoir une double fonction décor + circuit conducteur?
Pourrions nous créer un objet, qui utilise toutes les propriétés de ce matériaux, transparence, blancheur, décor en or, surfaces lisse…(?) et qui nécessite un circuit électronique? Par exemple un luminaire dont l’intensité varie grâce à des fonctions tactiles, et où la lumière serait visible par transparence à travers la porcelaine?
- schéma d’idée:
- Essais en porcelaine striée > l’idée est de créer un réseau qui pourrais accueille du cuivre fondu (par exemple)
Nous avons essayé de couler de l’étain à l’intérieur des strilles mais ce procédé n’était pas bien adapté. Le mieux aurait été de dessiner des circuit à l’or mais au vu de notre temps de travail accordé et des moyens dont nous disposions, celà semblait compliqué donc nous avons abandonné l’idée, celle ci sera sans doute poursuivie dans les années à venir.
- Voici les essais réalisés:
Après vérification sur place avec un ampèremètre, les dorures cuites sur les céramiques de sèvres sont très conductrices. La conductivité ne varie pas en fonction du brunissage de l’or après cuisson ou encore le vase « Mayodon » où l’on voit bien se dessiner des réseaux de décors en or:
- Voici deux vases célèbres aux manufactures de sèvres:
- Voici des exemples de porcelaines qui se sont associées à de l’électronique:
Scan Kinect
- Modélisation
Toujours dans notre optique de trouver un moyen de reproduire en trois dimensions le visage d’une personne, nous avons cette fois choisi de tester une Kinect sur le logiciel Scanect.
L’outil se révèle plus simple d’utilisation que l’appareil photo de notre précédent test. Il faut simplement connecter le capteur à un ordinateur, puis scanner d’un seul geste tout autour de la tête du cobaye.
La modélisation obtenue est néanmoins assez décevante par rapport à la semaine précédente… La Kinect est moins précise qu’un reflex numérique. Et le fait que l’on scanne à main levée enlève encore à cette précision. A noter que nous n’avons qu’une version d’essai de Scanect, ne permettant pas d’accéder aux résolutions les plus élevées.
La modélisation est assez hasardeuse, et on voit qu’il manque des informations, dans les cheveux notamment.
2. Altération
Nous avons décidé d’avancer dans le projet en tentant d’altérer une modélisation 3D, afin de faire une sorte de « chirurgie virtuelle ».
En premier, nous avons essayé d’intervenir sur les fichiers formant la texture recouvrant la figure 3d, selon le principe du Data Bending.
D’abord en ouvrant le .jpg dans Text édit, et en modifiant au hasard certaines ligne du code. Le résultat est là, mais on ne maitrise pas grand chose.
Ensuite nous avons essayé la même chose via un logiciel de traitement du son : Audacity. L’image importé dedans est soumise à des traitements du con : échos, reverbs, distorsion… Le résultat est un peu moins hasardeux, car chaque effet correspond à une modification bien précise.
Mais dans les deux cas, la morphologie de la personne n’est pas modifiée, c’est seulement sa peu, sa texture.
Nous avons ensuite tenté de modifier le fichier 3D directement.
Le fichier .obj ouvert dans Text edit, nous avons remplacé un caractère par un autre dans tout le texte. Le hasard est toujours là, mais cette fois-ci c’est bien la forme du visage qui se transforme, et le résultat est assez surprenant.
Il nous restera la prochaines fois à essayer d’appliquer une texture sur ce visage déformé.
Nitinol
Le Nitinol est un fil à mémoire de forme composé d’un alliage de nickel et de titane. On le fixe dans une forme choisie en le chauffant à haute température. S’il est ensuite déformé puis chauffé à nouveau, il reprend la forme initiale qu’on lui a donné.
How to Form Mémory Wire Nitinol
Captation : enregistrement de la première séance
Enregistrement de la première séance
Captation audio
https://www.youtube.com/watch?v=91MBpmHbu0c
Captation : intentions
Le fait de capter quelque chose, ce saisir de qui se passe dans un espace temps c’est aussi une volonté de transmettre une idée, une façon d’amener à regarder et à comprendre ce que l’on met à disposition. Alors quand on change/transforme les outils/modes de captage, ou ne serait ce que le point de vue, on change aussi la façon de comprendre la situation montrée. Tout un protocole doit être développé pour que ce que l’on souhaite communiquer soit interprété « correctement ».
Comment peut-on communiquer sur une situation ? Doit-on laisser à l’interprétation personnelle un place importante ? Les moyens de captage, quelqu’ils soient, scénarisent t’ils ce qu’ils amènent à voir ?
Nous allons essayer d’utiliser plusieurs outils et modes d’enregistrements pour retranscrire ce qu’il se passe autour de nous.
Nous allons procéder de façon répétitive , toujours en captant les données pendant le même espace temps : le temps de travail.
Capter nos séances de travail, et donc appliquer l’expérience à nous même est un moyen simple pour tout d’abord alimenter une banque de données régulièrement et amener une réflexion sur sur la surveillance ou/et l’auto surveillance.
Cette démarche cherche à nourrir une volonté de monter autrement ou plutôt différemment, sous d’autres angles; documenter la vie autrement, et laisser une grande place à l’interprétation.
Ce travail se revendique documentaire mais les modes de captation que nous utiliserons nous amènerons surement à interpréter ou du moins à scénariser la réalité montrée.
Avec la base de données que nous aurons sous la mains nous essaieront de créer de la matière documentaire sur ce que nous aurons vécu et réalisé durant le cours.
De cette expérience il découlera surement un travail visuel/virtuel et un travail visuel/concret et palpable.
PROTOCOLE DE TRAVAIL:
Sujets de l’expérience : Aëla Cabel, Quentin Astié
Schéma toujours similaire, salle, table, séance de travail etc. Lundi après-midi 4h
« Captations appliquées à nous-même »
Nos champs d’intervention :
enregistrement vidéo, enregistrement sonore, prises de notes, photos, processing, arduino …
Chirurgie virtuelle : premiers tests
Nos recherches s’orientent maintenant vers une mise en parallèle entre l’ADN, qui est le code de notre identité biologique, et le code numérique d’une image par exemple.Nous sommes partis de la supposition qu’avec le code de la photo d’une personne nous disposons d’une certaine façon de son ADN numérique.
Nous voulons nous questionner sur notre rapport à notre image virtuelle (sur les réseaux sociaux par exemple), ses représentations de nous-mêmes nous reflètent-elles et pourquoi essayons nous de les maîtriser.
Nous voudrions offrir un moyen de modifier son image numérique (Donc son code, son identité).
Nous avons réalisé des scans 3D pour avoir une première approche concrète d’une image numérique modifiable et déformable.