Voir POINT #1
Des captations des premières séances nous avons, de plusieurs manières,
extrait des retranscriptions texte.
Notre séance de travaille est devenue plusieurs récits à la fois.
Elle est sortie de la réalité pour s’inscrire dans une sorte de fiction.
Cette fiction/nouvelle réalité, ne peut exister que grâce à l’interprétation des logiciels. Ils nous
donnent leur version de cette séance.
Nous souhaitons travailler avec ces textes (texte#1 & texte#2)
La captation devient récit typographique/histoire écrite.
Nous avons sélectionné des phrases/des ensembles de mots qui sont des organes des nouvelles
fictions de la séance (pour chaque texte).
Nous souhaitons extraire des mots/phrases choisi(e)s, une forme générée et justifiée
par la captation elle meme (le son pourrait induire une forme au texte ?),
sortir de ce que l’on peut lire dans le mot, transformer en volume et montrer
une forme qui est l’empreinte du récit, comme son illustration.
(donc illustration/représentation de la séance de travail)
La démarche de Christiant Dotremont est la base de notre réflexion sur les textes.
(accentuer la plasticité des signes scripturaux/ voir dans leur dimension graphique, matérielle.)
Notre recherche semblent de plus en plus se diriger vers un travail de mise en volume
du texte (typographie), donc de transformation d’un support 2D typographique à un
objet sculptural.
Comme Doteront nous aimerions mais par le volume cette fois donner de la forme au texte, lui donner une matérialité.
Nous avons plusieurs hypothèses pour arriver à ça :